Pendant ma carrière dans le design et le web, j’ai développé une passion pour le blogging, et juste pour le fun, j’ai créé différents blogs sur les animaux, les USA, ou encore le survivalisme (oui).
En 2015, j’ai commencé celui-ci, un blog qui s’appelait Ma Vie Magique et qui parlait de psychologie positive, de hauts potentiels et de multipotentiel.le.s. Le moins que l’on puisse dire, c’est que j’ai commencé à avoir beaucoup de lecteurs et lectrices sur ce sujet particulier. J’ai alors écrit un petit livre. J’en écrit un second, un « vrai » cette fois, imprimé sur du vrai papier et tout.
Je suis ce qu’on appelle une surdouée, et une multipotentielle. Comme chaque être humain, je suis multiple et riche, une vraie boule à facettes – j’ai juste beaucoup de facettes! Et je suis très heureuse ainsi. J’ai eu la chance de pouvoir faire de longues études, d’un côté en journalisme, de l’autre en psychologie sociale. Entre autres. Je suis passionnée par l’anthropologie, la philosophie, les neurosciences et la psychologie, la biologie humaine, la sociologie, le monde animal et le monde de demain. Mon ADN est celui d’une chercheuse. Je ne me fixe aucune limite, et je ne me définis ni par mes diplômes, ni pas d’autres critères.
Beaucoup de problèmes dans la vie viennent du manque de connaissance de choses basiques comme le fonctionnement de notre cerveau, les différents styles d’attachement amoureux, ou les bases de la communication interpersonnelle. Je n’ai rien appris de tout ça à l’école, ni dans ma famille. J’en ai beaucoup souffert – mais j’ai aussi beaucoup appris.
Mon objectif premier est de transmettre ces connaissances et ce que je continue de découvrir pour, comme le colibri, faire ma petite part, faire en sorte que les gens aillent (un peu) mieux, en leur apprenant quelques trucs. Mais aussi d’ouvrir des discussions autour de tous ces sujets.
Mes articles n’engagent que moi. Et je n’avais pas envie d’écrire un millionième blog sur le développement personnel. Je ne suis dans mes écrits ni politiquement correcte ni forcément bien-pensante – parmi mes défauts, il y a celui d’aimer parler de ce dont il ne faut pas parler, de briser les tabous, de soulever le tapis, d’évoquer les sujets qui fâchent. Cela fait partie des caractéristiques des « zèbres », le petit nom que prennent parfois les surdoués : le besoin de justice et d’équité.
Même si je parle de bonheur et des moyens de l’atteindre (ou du moins, d’essayer), j’écris aussi sur les vérités qui dérangent. J’ai fait le tour de la psychologie telle qu’elle est vue en France, puis aux USA, celui du positivisme irréaliste qui refuse toute émotion « négative » et prône le bonheur non-stop, des principes de vie irréalistes et des gourous qui vendent la connexion avec l’univers et la loi de l’attraction à prix d’or.
La réalité, c’est que le chagrin et les déceptions sont inévitables, et que nos emmerdes nous font grandir.
Que nous sommes et resterons toujours complexes et imparfaits, que nous ne réussirons pas tout, et qu’il vaut mieux accepter que la vie est injuste.
Que personne n’a La Vérité ni La Recette du Bonheur.
Et qu’être heureux tout le temps est biologiquement impossible.
Si vous avez envie d’apprendre ce qu’on apprend pas à l’école, si vous préférez la vérité aux illusions, bienvenue, vous êtes à la maison.